Edito St FARON – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St FARON – P. Robert COLY – avril 2025

Des jours saints … à la fête de Pâques

Depuis le mercredi des cendres, 3 mots de l’évangile de ce jour balisent notre route vers Pâques :

  • Le partage nous tourne vers les autres. Concrètement que décidons nous de partager ?
  • La prière nous tourne vers Dieu. Quel temps lui offrons nous au milieu de nos occupations ?
  • Le jeûne nous tourne vers nous-mêmes. Non pas dans un repli égoïste, mais pour faire la vérité en notre cœur de croyants. De quel jeûne aurons-nous besoin pour alléger notre marche ? Car il faut marcher … marcher vers Pâques. Un chemin qui passe par la « Semaine » dite « Sainte ».

Le dimanche des Rameaux : il ouvre devant nous la « Semaine Sainte », la semaine du grand passage. En acclamant Jésus avec des rameaux, nous disons que nous voulons marcher à sa suite, sur ce chemin où il est acclamé par les foules, où il ira jusqu’au bout de l’amour en partageant le pain et en donnant sa vie. Un chemin qui nous conduira jusqu’à la lumière du matin de Pâques. Oui acclamons « Celui qui vient au nom du Seigneur ! »

Le jeudi Saint : Au moment où nous nous rassemblons pour faire mémoire du dernier repas de Jésus, nous sommes particulièrement unis à la communauté de tout le Pôle missionnaire de Lizy-La Ferté où en différents lieux se célèbre l’Eucharistie. Voici le temps où le Christ Serviteur donne sa vie pour ceux qu’il aime. A sa suite, nous voulons nous mettre au service les uns des autres, veiller avec lui dans la prière et communier au pain de sa vie livrée.

Le Vendredi Saint : la célébration de ce jour fait mémoire de la mort du Seigneur … une mort qui recèle en ellemême un message de vie, tant elle est porteuse d’amour. « C’est par ses blessures que nous sommes guéris ». En ce jour, célébrons la vie donnée du Christ, le corps livré pour nous et qui nous donne la vie.

La Vigile Pascale : « Qu’éclate dans le ciel la joie des anges ! Qu’éclate de partout la joie du monde ! Qu’éclate dans l’Église la joie des fils de Dieu ! » C’est une explosion de joie au cœur de la nuit, une explosion de lumière qui déchire la nuit, une explosion de vie qui détruit la mort. Désormais, plus rien ne sera comme avant. Le triomphe est sûr, la victoire est acquise, le Christ est ressuscité et nous fait vivre de sa vie. Le jour qui se lève est bonne nouvelle pour le monde.

Pâques : « Alléluia, Christ est ressuscité ! » Voici le cri de joie qui a retenti au cœur de la nuit pour des millions de chrétiens à travers le monde, des femmes et des hommes de toutes races et de toutes cultures qui se reconnaissent disciples du Ressuscité. Oui, Jésus est vivant et il nous fait vivre. En ce jour de Pâques, laissons éclater notre joie. Puissent donc nos paroles et nos gestes annoncer cette nouvelle à tout homme et à tout l’homme.

Bonne et Sainte Fête de Pâques.

Robert COLY, prêtre

Bulletin paroissial avril 2025

Edito St POTENTIEN – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St POTENTIEN – P. Robert COLY – avril 2025

Des jours saints … à la fête de Pâques

Depuis le mercredi des cendres, 3 mots de l’évangile de ce jour balisent notre route vers Pâques :

  • Le partage nous tourne vers les autres. Concrètement que décidons nous de partager ?
  • La prière nous tourne vers Dieu. Quel temps lui offrons nous au milieu de nos occupations ?
  • Le jeûne nous tourne vers nous-mêmes. Non pas dans un repli égoïste, mais pour faire la vérité en notre cœur de croyants. De quel jeûne aurons-nous besoin pour alléger notre marche ? Car il faut marcher … marcher vers Pâques. Un chemin qui passe par la « Semaine » dite « Sainte ».

Le dimanche des Rameaux : il ouvre devant nous la « Semaine Sainte », la semaine du grand passage. En acclamant Jésus avec des rameaux, nous disons que nous voulons marcher à sa suite, sur ce chemin où il est acclamé par les foules, où il ira jusqu’au bout de l’amour en partageant le pain et en donnant sa vie. Un chemin qui nous conduira jusqu’à la lumière du matin de Pâques. Oui acclamons « Celui qui vient au nom du Seigneur ! »

Le jeudi Saint : Au moment où nous nous rassemblons pour faire mémoire du dernier repas de Jésus, nous sommes particulièrement unis à la communauté de tout le Pôle missionnaire de Lizy-La Ferté où en différents lieux se célèbre l’Eucharistie. Voici le temps où le Christ Serviteur donne sa vie pour ceux qu’il aime. A sa suite, nous voulons nous mettre au service les uns des autres, veiller avec lui dans la prière et communier au pain de sa vie livrée.

Le Vendredi Saint : la célébration de ce jour fait mémoire de la mort du Seigneur … une mort qui recèle en ellemême un message de vie, tant elle est porteuse d’amour. « C’est par ses blessures que nous sommes guéris ». En ce jour, célébrons la vie donnée du Christ, le corps livré pour nous et qui nous donne la vie.

La Vigile Pascale : « Qu’éclate dans le ciel la joie des anges ! Qu’éclate de partout la joie du monde ! Qu’éclate dans l’Église la joie des fils de Dieu ! » C’est une explosion de joie au cœur de la nuit, une explosion de lumière qui déchire la nuit, une explosion de vie qui détruit la mort. Désormais, plus rien ne sera comme avant. Le triomphe est sûr, la victoire est acquise, le Christ est ressuscité et nous fait vivre de sa vie. Le jour qui se lève est bonne nouvelle pour le monde.

Pâques : « Alléluia, Christ est ressuscité ! » Voici le cri de joie qui a retenti au cœur de la nuit pour des millions de chrétiens à travers le monde, des femmes et des hommes de toutes races et de toutes cultures qui se reconnaissent disciples du Ressuscité. Oui, Jésus est vivant et il nous fait vivre. En ce jour de Pâques, laissons éclater notre joie. Puissent donc nos paroles et nos gestes annoncer cette nouvelle à tout homme et à tout l’homme.

Bonne et Sainte Fête de Pâques.

Robert COLY, prêtre

bulletin d’avril 2025

Edito St POTENTIEN – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St POTENTIEN – Bernard DEMOLON, diacre – mars 2025

Cinq années se sont écoulées entre l’appel initial et la date de mon ordination, le 6 octobre dernier. Cinq années marquées par des doutes, des étonnements, un discernement progressif, mais aussi de grandes joies. Uni à Corinne par le sacrement du mariage, nous avons entamé ensemble ce chemin, et grâce à son soutien, je suis heureux de servir l’Église à travers le diaconat. Trouver les gestes justes à l’autel et ma place dans cette nouvelle mission confiée par notre évêque n’a pas toujours été évident. Entre mon engagement au sein des pèlerinages et mon rôle dans notre pôle, l’apprentissage est constant. Mais une mission me tient particulièrement à cœur : celle d’être artisan de paix. L’Église est un lieu de communion, et pourtant, nous sommes parfois témoins de tensions, de divisions, de silences qui éloignent au lieu de rassembler. Dans ces moments, le diacre, serviteur du Christ et de l’Église, est appelé à être un pont, un médiateur, un frère qui invite au dialogue et à la réconciliation.
Ce mois de mars nous fait entrer dans le temps du Carême, une période propice à la réflexion sur notre engagement au sein d’une Église unie, où chacun peut trouver sa place et contribuer avec ses talents. L’Église a besoin de serviteurs, mais aussi de bâtisseurs d’unité. Peut-être est-ce l’occasion de tendre la main à ceux avec qui nous avons peu d’échanges, d’aller vers ceux qui restent à la marge de notre communauté, de poser un geste de paix là où des blessures persistent.
Les catéchumènes, de plus en plus nombreux chaque année, sont déjà en marche. Comment les accueillir, les accompagner, leur montrer une Église qui rassemble et non qui divise ? Se sentir accueilli est essentiel : c’est ainsi que nous formons le « Corps du Christ », cette Église universelle appelée à vivre de l’amour du Seigneur.
Servir l’Église, c’est contribuer à ce Corps. Lors de chaque célébration, en recevant l’Eucharistie, nous devenons à notre tour des tabernacles du Christ. Si nous prenons pleinement conscience de cette réalité, alors même face aux tensions et aux désaccords, nous ne pouvons que poser un regard d’amour et de miséricorde sur nos frères et sœurs. Là où il y a la division, œuvrons pour la réconciliation. Là où il y a l’incompréhension, semons la paix. Car c’est ainsi que nous serons véritablement les disciples du Christ. Au travers d’une prière que j’aime particulièrement, la prière de St François, nous pourrions nous en inspirer sur ce chemin de Carême.
« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »


Bernard DEMOLON, diacre

bulletin de mars 2025

Edito St FARON – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St FARON – P. Alfred Waly SARR – mars 2025

UN CAREME SOUS LE SIGNE DE L’ESPERANCE.

Chers amis de la Paroisse Saint Faron de Lizy-Sur-Ourcq, en communion avec l’Eglise universelle, nous sommes entrés depuis quelques mois dans le Jubilé de l’an de grâce 2025. Le Pape François nous invite tous à être « les pèlerins de l’Espérance ». Comme je l’ai déjà souligné dans un précédent éditorial, il s’agit pour certains de prier pour maintenir stable et forte cette Espérance, pour d’autres de la remettre à jour et de la rassurer, pour d’autres encore, déçus par la vie, de la demander instamment à Dieu.
Quel que soit l’état de notre propre Espérance, le Carême 2025, que nous vivons sous le signe de l’Espérance peut nous aider à ancrer davantage notre vie et nos aspirations dans le Christ, notre ESPERANCE. Avec le Mercredi des Cendres, nous ferons joyeusement notre entrée en Carême. Ce temps fort de notre liturgie est un moment favorable, pour revisiter notre triangle relationnel ou notre relation triangulaire. Relation avec Dieu dans la prière, relation avec le prochain à travers nos gestes de solidarité et de miséricorde, relation avec soi-même dans l’effort, le jeûne et le choix de l’essentiel dans les besoins.
Oui, tous ces exercices spirituels, en cette Année Jubilaire, nous aideront à fixer les yeux sur le Christ, notre ESPERANCE.
L’Espérance chrétienne ne se vivra pas en marge de l’Espérance de notre communauté internationale, en proie aujourd’hui à la menace des conflits. Même les continents jadis tranquilles et en paix, se voient aujourd’hui menacés. Ce temps du Carême peut être une offrande sainte de prières à Dieu pour la paix dans le monde. Le Pape François rappelait à ce propos ceci : « Si nous voulons vraiment préparer la voie de la paix dans le monde, engageons-nous à remédier aux causes profondes des injustices, épurons les dettes injustes et insolvables et rassasions les affamés. »
En ce temps de Carême, prions alors pour la paix dans le monde, dans nos pays, dans nos communautés chrétiennes et dans nos familles. Que ce Carême jubilaire nous redonne la foi, l’ESPERANCE et la charité.
AMEN.

Père Alfred Waly SARR

Bulletin paroissial mars 2025

Edito St FARON – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St FARON – P. Alfred Waly SARR – février 2025

NOURRIR ET SOUTENIR NOTRE ESPERANCE

Chers amis de la Paroisse Saint Faron de Lizy-Sur-Ourcq, en communion avec l’Eglise universelle, nous sommes entrés depuis quelques jours dans le Jubilé de l’an de grâce 2025.
Le pape François nous invite tous à être « les pèlerins de l’espérance ». Il s’agit pour certains de prier pour maintenir stable et forte cette espérance, pour d’autres de la remettre à jour et de la rassurer, pour d’autres encore, déçus par la vie, de la demander instamment à Dieu.
Quel que soit l’état de notre propre espérance, ce mois de février sera, à mon avis, un moment favorable pour la nourrir et la soutenir. Beaucoup de rendez-vous spirituels nous sont en effet proposés. Profitons-en. Ce sont des moments favorables que Dieu nous offre.
D’abord, le Jubilé en lui-même est une période de résilience, de sursaut et de renouveau spirituels. Il nous est donné pour reconsidérer notre vie et notre avenir en Dieu, avec Dieu et par Dieu. Nous ne sommes pas seuls dans notre existence, Dieu qui s’est fait chair nous accompagne au quotidien. Ne laissons donc pas sans effets les grâces de ce jubilé.
Ensuite, notre Eglise diocésaine de Meaux et notre Pôle Missionnaire Lizy-La Ferté nous offrent deux autres rendez-vous spirituels. Il s’agit du pèlerinage du Pôle, prévu le week-end du 14-15 février à Lisieux, ainsi que celui qui se tiendra à Rome à la même période. Que de grâces !!! Même si nous n’avons pas l’opportunité de nous y rendre, présentons à Jésus Sauveur nos intentions par notre communion de prières. Nous pouvons aussi confier à nos voisins pèlerins nos actions de grâce et nos supplications. Partageons avec eux notre
espérance.
Enfin, le mois de février est marqué par la fervente célébration de la Bienheureuse Vierge Marie Notre-Dame de Lourdes. Cette journée de prière nous fera particulièrement penser à nos malades. Ceux de nos familles, de nos communautés chrétiennes et tous ceux qui vivent cette expérience douloureuse seuls dans leur maison ou dans les hôpitaux. Soutenons leur espérance par notre prière. Que sainte Bernadette que nous allons aussi fêter soutienne par sa
prière notre espérance.

Père Alfred Waly SARR

Bulletin paroissial février 2025

Edito St POTENTIEN – P. Robert COLY – avril 2025

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025

Chaque année, le mois de février nous fait penser particulièrement aux malades à cause de la fête de Notre Dame de Lourdes le 11 février.
Quand on lit les évangiles, on s’aperçoit que Jésus a rencontré beaucoup de malades et en a guéri beaucoup.
Dès le début de son histoire, l’Eglise a entendu cet appel de Jésus à aimer les malades, en leur apportant la compassion et les soins dont ils ont besoin. Beaucoup de saints et de congrégations religieuses ont donné leur vie pour soigner les malades ; ils sont à l’origine de nombreux hôpitaux, appelés « Hôtel- Dieu ».
Aujourd’hui, l’Etat a pris le relais en instituant un régime de solidarité pour les malades et handicapés, qu’on appelle la « sécurité sociale » : les bienportants paient les soins de ceux qui en ont besoin ; on peut y voir une action de l’Esprit Saint.
Mais notre engagement de chrétien va plus loin que les soins donnés par des spécialistes de la santé.
La compassion est de l’ordre de l’amour : nous sommes tous concernés pour aimer les malades et leur donner le réconfort de notre présence. En retour, les malades nous apportent du courage pour vivre nos moments de faiblesse et découragement.
Enfin n’oublions pas le sacrement des malades : n’attendons pas le dernier moment pour le recevoir ; il ne fait pas mourir, au contraire, il donne la force pour lutter contre le mal.
Ce sacrement des malades sera proposé à ceux qui le désirent, à la messe du dimanche des malades, 9 février.

Père Bernard PAJOT

bulletin de février 2025

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