Arrivée du Père Félicien BOSANGANYE LOOLA

P. Félicien vient d’arriver de République Démocratique du Congo par un vol Kinshasa > Bruxelles > Paris pour poursuivre des études de Théologie Fondamentale au Collège des Bernardins à Paris.

Il s’installe au presbytères de Saint-Jean-lès-Deux-Jumeaux où il a été accueilli par P. Robert COLY, notre Curé.

Outre ses études, sa mission première, il intègre l’équipe presbytérale au service de notre Pôle Missionnaire et figure déjà sur le calendrier de rotation des prêtres pour les offices au sein du Pôle [ Calendrier de rotation des célébrants – Pôle Missionnaire de Lizy-La Ferté (catho77.fr) ].

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Edito St FARON – Christian COLLOMB, diacre – septembre 2025
16 septembre

Edito St FARON – Christian COLLOMB, diacre – septembre 2025

Ce mois de septembre résonne comme une reprise d’activité collective. Les mois d’été ont permis de souffler un peu, et vraisemblablement de prendre un peu de recul sur le rythme de la vie quotidienne. Notre communauté paroissiale sort de son rythme estival plus allégé pour converger vers une Église qui elle aussi vit sa rentrée.
Et Dieu a besoin de chacun de nous. L’Esprit-Saint souffle sur nos vies, mais savons nous répondre aux invitations qui nous sont adressées ? Selon nos compétences et nos charismes, avons-nous réfléchi aux engagements que nous pourrions prendre, ne serait-ce que 1 heure par mois ? Une année, c’est 8760 heures : ne pourrions-nous pas consacrer 12 heures (ou plus …) pour la mission paroissiale, pour le bien de la communauté ?
Notre Église s’inscrit dans une dynamique que même certains médias plutôt discrets avec les catholiques relaient avec étonnement dans leurs analyses, je pense notamment à l’explosion du nombre de baptêmes d’adolescents et d’adultes au niveau national. Mais pour qu’elle resplendisse et qu’elle rayonne, pour qu’elle témoigne davantage de l’Amour de Dieu bien présent dans notre monde, l’Église a besoin de chacun de nous.
Nos différences et nos complémentarités sont une chance pour notre paroisse. Sortons de nos zones de confort, et écoutons ce que l’autre nous dit, ce qu’il propose pour faire grandir notre communauté. Donnons du temps à notre Église, sans nous épuiser. Il est préférable de donner un temps raisonné et raisonnable, plutôt que de s’épuiser dans la mission. Rêvons un peu : imaginons que chaque paroissien donne un peu de son temps … Bien sûr, il ne s’agit pas de porter une tâche insurmontable qui ne corresponde pas à nos compétences voire à nos appétences. Mais il s’agit avant tout, à l’image du Christ qui lave les pieds de ses disciples, de revêtir la tenue du serviteur. Dans notre paroisse, "La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux." (Luc 10, 2)
Les besoins sont variés **. Nous pouvons participer à la liturgie dominicale et à sa préparation, à la mise en place avant les célébrations, à l’accueil dans l’église, à l’animation musicale. Nous pouvons aider au nettoyage des églises. Nous pouvons accompagner les servants d’autel. Nous pouvons assurer une permanence d’accueil dans les églises paroissiales. Nous pouvons accompagner les personnes adolescentes ou adultes en chemin vers le baptême ou la confirmation. Nous pouvons participer à la catéchèse, à l’éveil à la foi. Nous pouvons intégrer les équipes de préparation au mariage, au baptême des tout-petits ou aux funérailles. Nous pouvons aider à plier et distribuer le bulletin paroissial. Nous pouvons lancer et réaliser de nouvelles initiatives pastorales. Nous pouvons assurer un service en lien avec nos soeurs de l’abbaye. Nous pouvons participer à des groupes de prières (et dans notre monde chahuté, les intentions de prières locales ou plus lointaines ne manquent pas). Nous pouvons visiter les malades … Il est difficile d’être exhaustif, mais nous voyons bien que l’Église a besoin de chacun de nous. Alors, n’hésitons pas : nous avons tous notre place dans le service de la paroisse. Il compte sur chacun de nous : revêtons la tenue de serviteur et oeuvrons avec foi pour rayonner de l’Amour de Dieu au sein de notre paroisse. Belle rentrée à tous …

Christian COLLOMB, diacre

Bulletin paroissial septembre 2025

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025
27 janvier

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025

Chaque année, le mois de février nous fait penser particulièrement aux malades à cause de la fête de Notre Dame de Lourdes le 11 février.
Quand on lit les évangiles, on s'aperçoit que Jésus a rencontré beaucoup de malades et en a guéri beaucoup.
Dès le début de son histoire, l'Eglise a entendu cet appel de Jésus à aimer les malades, en leur apportant la compassion et les soins dont ils ont besoin. Beaucoup de saints et de congrégations religieuses ont donné leur vie pour soigner les malades ; ils sont à l'origine de nombreux hôpitaux, appelés « Hôtel- Dieu ».
Aujourd'hui, l'Etat a pris le relais en instituant un régime de solidarité pour les malades et handicapés, qu'on appelle la « sécurité sociale » : les bienportants paient les soins de ceux qui en ont besoin ; on peut y voir une action de l'Esprit Saint.
Mais notre engagement de chrétien va plus loin que les soins donnés par des spécialistes de la santé.
La compassion est de l'ordre de l'amour : nous sommes tous concernés pour aimer les malades et leur donner le réconfort de notre présence. En retour, les malades nous apportent du courage pour vivre nos moments de faiblesse et découragement.
Enfin n’oublions pas le sacrement des malades : n'attendons pas le dernier moment pour le recevoir ; il ne fait pas mourir, au contraire, il donne la force pour lutter contre le mal.
Ce sacrement des malades sera proposé à ceux qui le désirent, à la messe du dimanche des malades, 9 février.

Père Bernard PAJOT

bulletin de février 2025

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