Edito P. Alfred – juillet & août 2024

Avec Marie, méditons les événements dans notre cœur.


Chers fidèles du Christ de la paroisse saint Faron de Lizy-Sur-Ourcq,
cet été, temps de vacances, sera marqué par de nombreux et importants
événements. La France notamment, vivra, entre autres, des élections législatives.
Elle réunira ensuite des représentants de la totalité du monde entier autour des
Jeux Olympiques (J.O.), dont la flamme fait le tour de nos grandes villes. Le 14
juillet rassemblera les coeurs de tous les français autour de la Fête Nationale. Le
sanctuaire marial de Lourdes et d’autres centres spirituels verront converger une
multitude de pèlerins et de retraitants. Le 15 août, enfin, nous donnera l’occasion
de contempler Marie, « Étoile de la Mer», « Porte de Ciel » et « Reine de
l’univers ». De partout on fredonnera : « Nous te saluons, ô toi, Notre Dame,
Marie, Vierge Sainte, que drape le soleil. Couronnée d’étoiles, la lune est sous tes
pas, en toi nous est donnée l’aurore du salut. »
Et si nous vivions déjà tous ces événements dans l’engagement civil certes, mais
aussi dans la méditation, comme Marie qui « gardait tous ces événements dans
son coeur ? » Cf. Luc 2, 19. Oui ! Confions à la sainte Vierge, Notre-Dame de
Lourdes, l’avenir politique, économique, religieux et humain de notre pays, de
l’Europe et du monde entier. En communion avec nos malades et les personnes en
difficulté, prions : « VIERGE SAINTE, au milieu de vos jours glorieux, n’oubliez
pas les tristesses de la terre. Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la
souffrance, qui luttent contre les difficultés et qui ne cessent de tremper leurs
lèvres aux amertumes de cette vie. Ayez pitié de ceux qui s’aimaient et qui sont
séparés ! Ayez pitié de l’isolement du coeur ! Ayez pitié de notre foi ! Ayez pitié des
objets de notre tendresse ! Ayez pitié de ceux qui pleurent, de ceux qui prient, de
ceux qui tremblent ! Donnez à tous l’espérance et la paix. Amen. »
Père Alfred Waly SARR

Bulletin paroissial juillet-août 2024

Autres articles

Annonces hebdomadaires – LFsJ
21 avril

Annonces hebdomadaires – LFsJ

La paroisse met à votre disposition quelques annonces, ainsi que le bulletin paroissial de l'été (juillet-août) où vous retrouverez toutes les informations et évènements de la paroisse; il est disponible à l'entrée des églises et vous pouvez aussi le recevoir par mail en laissant vos coordonnées au secrétariat.

Dans cette année jubilaire,  140 jeunes de notre diocèse dont 8 de notre paroisse, accompagnés par Mgr Jean-Yves NAHMIAS et Mgr Guillaume de LISLE ont participé au Jubilé des Jeunes à Rome du 28 juillet au 3 août , nous les confions à votre prière.

Les inscriptions pour la nouvelle année pastorale auront lieu au Centre paroissial Saint Joseph (13, rue Regnard de l'Isle à La Ferté - sous-Jouarre) :

Éveil à la Foi (de la maternelle au CE1) et Catéchisme (du CE2 à la Sixième) :

  • Le samedi 30 août de 10h00 à 13h00 , le vendredi 5 septembre (permanence) de 15h00 à 17h00 et le samedi 13 septembre de 10h00 à 15h00

Aumônerie et préparation aux sacrements (baptême, confirmation, première communion)

  • Le samedi 6 septembre de 14h00 à 17h00 et les mardis et vendredis de 10h00 à 12h00 du 22 août au 26 septembre 2025.

Les inscriptions sont toujours possibles pour le samedi 6 septembre, messe en la Cathédrale Notre Dame de Paris, sur le site du Diocèse de Meaux.

A la suite de la réouverture de la cathédrale Notre Dame de Paris, nous sommes invités à venir en pèlerinage le samedi 6 septembre, autour de Mgr Nahmias.
Ce pèlerinage , temps fort de foi sera aussi l'occasion de redécouvrir ce sanctuaire vivant.

Nous nous retrouverons proche de la cathédrale à 13h00 pour une marche, un parcours spirituel dans la cathédrale , la messe sera présidée par les évêques de Meaux.
Attention le nombre de places est limité (1300).

Les inscriptions obligatoires, se font uniquement via le lien suivant :

https://pelerinagediocesain2025-notredamedeparis.venio.fr/fr

Edito St POTENTIEN – Bernard DEMOLON, diacre – mars 2025
1 mars

Edito St POTENTIEN – Bernard DEMOLON, diacre – mars 2025

Cinq années se sont écoulées entre l’appel initial et la date de mon ordination, le 6 octobre dernier. Cinq années marquées par des doutes, des étonnements, un discernement progressif, mais aussi de grandes joies. Uni à Corinne par le sacrement du mariage, nous avons entamé ensemble ce chemin, et grâce à son soutien, je suis heureux de servir l’Église à travers le diaconat. Trouver les gestes justes à l’autel et ma place dans cette nouvelle mission confiée par notre évêque n’a pas toujours été évident. Entre mon engagement au sein des pèlerinages et mon rôle dans notre pôle, l’apprentissage est constant. Mais une mission me tient particulièrement à cœur : celle d’être artisan de paix. L’Église est un lieu de communion, et pourtant, nous sommes parfois témoins de tensions, de divisions, de silences qui éloignent au lieu de rassembler. Dans ces moments, le diacre, serviteur du Christ et de l’Église, est appelé à être un pont, un médiateur, un frère qui invite au dialogue et à la réconciliation.
Ce mois de mars nous fait entrer dans le temps du Carême, une période propice à la réflexion sur notre engagement au sein d’une Église unie, où chacun peut trouver sa place et contribuer avec ses talents. L’Église a besoin de serviteurs, mais aussi de bâtisseurs d’unité. Peut-être est-ce l’occasion de tendre la main à ceux avec qui nous avons peu d’échanges, d’aller vers ceux qui restent à la marge de notre communauté, de poser un geste de paix là où des blessures persistent.
Les catéchumènes, de plus en plus nombreux chaque année, sont déjà en marche. Comment les accueillir, les accompagner, leur montrer une Église qui rassemble et non qui divise ? Se sentir accueilli est essentiel : c’est ainsi que nous formons le « Corps du Christ », cette Église universelle appelée à vivre de l’amour du Seigneur.
Servir l’Église, c’est contribuer à ce Corps. Lors de chaque célébration, en recevant l’Eucharistie, nous devenons à notre tour des tabernacles du Christ. Si nous prenons pleinement conscience de cette réalité, alors même face aux tensions et aux désaccords, nous ne pouvons que poser un regard d’amour et de miséricorde sur nos frères et sœurs. Là où il y a la division, œuvrons pour la réconciliation. Là où il y a l’incompréhension, semons la paix. Car c’est ainsi que nous serons véritablement les disciples du Christ. Au travers d’une prière que j’aime particulièrement, la prière de St François, nous pourrions nous en inspirer sur ce chemin de Carême.
« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »


Bernard DEMOLON, diacre

bulletin de mars 2025

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025
27 janvier

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025

Chaque année, le mois de février nous fait penser particulièrement aux malades à cause de la fête de Notre Dame de Lourdes le 11 février.
Quand on lit les évangiles, on s'aperçoit que Jésus a rencontré beaucoup de malades et en a guéri beaucoup.
Dès le début de son histoire, l'Eglise a entendu cet appel de Jésus à aimer les malades, en leur apportant la compassion et les soins dont ils ont besoin. Beaucoup de saints et de congrégations religieuses ont donné leur vie pour soigner les malades ; ils sont à l'origine de nombreux hôpitaux, appelés « Hôtel- Dieu ».
Aujourd'hui, l'Etat a pris le relais en instituant un régime de solidarité pour les malades et handicapés, qu'on appelle la « sécurité sociale » : les bienportants paient les soins de ceux qui en ont besoin ; on peut y voir une action de l'Esprit Saint.
Mais notre engagement de chrétien va plus loin que les soins donnés par des spécialistes de la santé.
La compassion est de l'ordre de l'amour : nous sommes tous concernés pour aimer les malades et leur donner le réconfort de notre présence. En retour, les malades nous apportent du courage pour vivre nos moments de faiblesse et découragement.
Enfin n’oublions pas le sacrement des malades : n'attendons pas le dernier moment pour le recevoir ; il ne fait pas mourir, au contraire, il donne la force pour lutter contre le mal.
Ce sacrement des malades sera proposé à ceux qui le désirent, à la messe du dimanche des malades, 9 février.

Père Bernard PAJOT

bulletin de février 2025

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