Edito P. Alfred – septembre 2024

Journées européennes du patrimoine.
Une occasion pour redécouvrir la richesse spirituelle de nos Églises et Chapelles.

Chers fidèles du Christ de la paroisse saint Faron de Lizy-Sur-Ourcq
Le mois de septembre marque la fin des vacances d’été et la reprise effective des activités professionnelles, académiques, politiques. Il consacre aussi, dans l’Eglise, la reprise de l’année pastorale, c’est-à-dire des activités pastorales. Toutes les paroisses en effet, appelleront les parents à leur responsabilité envers l’éducation spirituelle de leurs enfants, à travers, entre autres, l’inscription au catéchisme. De même, tous les secteurs et organes d’engagement au sein des communautés chrétiennes seront ouverts à tous. Notre Église a besoin de nous tous.
Cet engagement pourrait, à vrai dire, être soutenu par les journées européennes du patrimoine prévues pour le weekend des 21 et 22. Comme beaucoup de pays d’Europe, la France capitalise un nombre considérable de monuments historiques à visiter. Ces symboles historiques nous permettent de relire l’histoire pour redécouvrir le génie intellectuel, architectural, culturel et spirituel de nos prédécesseurs. Nos Églises et nos Chapelles constituent, faut-il le rappeler, un fonds originel et original de ce patrimoine. Elles chantent encore et majestueusement la foi et la spiritualité agissante soutenues par l’ingéniosité de nos compatriotes, notamment pendant la période médiévale et la Renaissance. L’Église reste témoin fidèle et actif de l’art qui porte le nom de toutes les époques.
Quelle place donnera-t-on alors à ces édifices spirituels pendant ce weekend du patrimoine ? Nos Clochers le plus souvent tristement fermés et désaffectés, les Grottes mariales, les Calvaires, les Statues sacrées, les Tableaux…, ainsi que toutes nos Églises encore fréquentées le dimanche, pourraient et devraient être largement ouverts et disponibles. Il s’agira simplement d’accueillir, de faire visiter ou de remettre des dépliants portant sur l’histoire de l’édifice et surtout d’aider à prier. Cette occasion pourrait aussi inspirer la réflexion et le partage autour de la question vive de l’avenir et de la gestion de ce patrimoine spirituelle.
Père Alfred Waly SARR

Bulletin paroissial septembre 2024

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Edito St FARON – P. Alhdain NKOUNKOU – novembre 2025
30 octobre

Edito St FARON – P. Alhdain NKOUNKOU – novembre 2025

Le mois de Novembre et son pesant d’or

« A parler franc », comme le dirait le Père Léonce de Grandmaison, le mois de Novembre est porteur d’une beauté et d’une profondeur liturgiques inouïes. D’entrée de jeu, ce mois célèbre la sainteté de Dieu, celle des témoins que l’Eglise a canonisés (les saintes et les saintes), celle des chrétiens et chrétiennes anonymes (selon l’expression de Karl Rahner) ; une sainteté finalement à laquelle tout baptisé est aussi appelé (1er Novembre). Ce même mois de Novembre célèbre ensuite la mémoire collective et inoubliable de nos défunts, « ces êtres chers et précieux que nous ne cesserons jamais d’aimer » et qui vivent désormais dans la lumière et la paix de Dieu (2 Novembre). Sans doute, avec ces deux célébrations d’importance majeure, le mois de Novembre unit le Ciel et la Terre dans les liens de l’espérance. Une espérance résolument tournée vers la venue glorieuse du Christ Sauveur de l’humanité, puisque le temps de l’Avent (année liturgique A) éclore au cours de ce même mois. La masse liturgique de ce mois de Novembre force donc le respect et l’admiration de la grandeur de Dieu ; la conversion du cœur, le recueillement et la contemplation.
Le mois de Novembre est par conséquent le lieu natal de bonnes résolutions qui nous inviteraient à méditer sur le sens de notre « vie », sur la « fin de toute chose » et sur « l’éternité bienheureuse en Dieu » : c’est donc le mois où nos yeux fixent l’horizon de notre existence dans l’espérance. A l’aune de cette boussole, il devient crucial de nous demander : pourquoi tant de guerres dans le monde ? Pourquoi tant de crises politiques dans le monde ? Pourquoi le monde est si décousu ? Que ce mois de Novembre nous ouvre donc le cœur et les mains, et nous apporte la claire vision de notre engagement chrétien dans le monde

Père Alhdain

Bulletin paroissial novembre 2025

Edito St POTENTIEN – P. Alhdain NKOUNKOU – novembre 2025
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Le mois de Novembre est par conséquent le lieu natal de bonnes résolutions qui nous inviteraient à méditer sur le sens de notre « vie », sur la « fin de toute chose » et sur « l’éternité bienheureuse en Dieu » : c’est donc le mois où nos yeux fixent l’horizon de notre existence dans l’espérance. A l’aune de cette boussole, il devient crucial de nous demander : pourquoi tant de guerres dans le monde ? Pourquoi tant de crises politiques dans le monde ? Pourquoi le monde est si décousu ? Que ce mois de Novembre nous ouvre donc le cœur et les mains, et nous apporte la claire vision de notre engagement chrétien dans le monde

Père Alhdain

bulletin de novembre 2025

Edito St FARON – P. Robert COLY – octobre 2025
2 octobre

Edito St FARON – P. Robert COLY – octobre 2025

En pèlerins d’Espérance, vivons cette année pastorale 2025-2026

Depuis décembre 2024 et jusqu’en janvier 2026, l’Église propose (tous les 25 ans) : une année sainte.
Il s’agit d’une année de grâce et de réconciliation avec Dieu et avec nos sœurs et frères.
Les Chrétiens que nous sommes, sont invités à nous immerger dans l’infinie miséricorde de Dieu et surtout à en témoigner. Le Jubilé 2025 est une année Sainte, caractérisée par l’espérance qui ne passe pas : l’espérance qui est en Dieu.
Depuis début septembre, avec le démarrage de l’année scolaire, beaucoup d’activités ont repris (y compris pastorales). Puissent les différentes activités pastorales aider chacune, chacun, à se laisser attirer par l’espérance et faire en sorte qu’elle devienne contagieuse à travers chacun de nous, pour ceux qui la désirent.
Puisse notre vie leur dire « Espère le Seigneur, Sois fort et prends courage » (Ps. 27,14)


« Seigneur donne à chacun d’être ce pèlerin d’espérance »

Ce mois d’octobre est appelé « mois du Rosaire ». Durant ce mois nous sommes invités à nous mettre à l’école de Marie qui nous conduit pas à pas vers Jésus. Alors pourquoi, chaque jour d’octobre, ne pas prendre 23 secondes pour réciter un « Je vous salue Marie » (c’est le temps que cela prend)
En attendant, comme des pèlerins pétris d’espérance, engageons-nous pour une année pastorale féconde et pour que Jésus-Christ soit plus connu et plus aimé.

Père Robert COLY, curé

Bulletin paroissial octobre 2025

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