Edito P. Alfred – novembre 2024

« JE CROIS A LA COMMUNION DES SAINTS ET A LA VIE ETERNELLE »

Chers fidèles du Christ du Secteur pastoral de Lizy-sur-Ourcq, le mois de Novembre est celui où l’expérience de la Communion des saints et la foi en la vie éternelle, professée dans le Credo, sont vécues de façon spécifique. En effet, le 01 novembre nous offre la belle occasion de célébrer, dans la joie et la ferveur, la fête de la Toussaint, fête de tous les saints connus et inconnus. Nous sommes invités à contempler la sainteté de Dieu, « trois fois Saint ». Lui qui est « vraiment Saint », qui est la Sainteté et la « Source de toute sainteté ». La fête de la Toussaint nous rappelle aussi notre vocation à cette sainteté. Toute l’humanité est appelée à la sainteté et en chaque chrétien vit un « saint-possible ». Nous sommes aujourd’hui, les saints de l’Église de demain. Puisse le Saint Esprit nous aider alors à en prendre davantage conscience et à y cheminer malgré nos faiblesses.
Au lendemain de cette fête, cette communion des saints se poursuivra le 02 novembre, avec la Commémoration des fidèles défunts. Ce jour, nous prierons effectivement pour tous les défunts en général, pour ceux que nous avons connu et aimé en particulier. Notre visite au cimetière fleuri après la célébration eucharistique le matérialisera. Cette ferveur avec tous ceux qui nous ont précédé dans la foi et qui sont dans la main de Dieu, se poursuivra durant tout le mois de Novembre. Profitons spirituellement de ce temps pour vivre la Communion des saints et pour confier à la miséricorde de Dieu les âmes du purgatoire.
Bonne communion spirituelle avec nos saints et nos fidèles défunts. AMEN.

Père Alfred Waly SARR

Bulletin paroissial novembre 2024

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Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025
27 janvier

Edito St POTENTIEN – P. Bernard PAJOT – février 2025

Chaque année, le mois de février nous fait penser particulièrement aux malades à cause de la fête de Notre Dame de Lourdes le 11 février.
Quand on lit les évangiles, on s'aperçoit que Jésus a rencontré beaucoup de malades et en a guéri beaucoup.
Dès le début de son histoire, l'Eglise a entendu cet appel de Jésus à aimer les malades, en leur apportant la compassion et les soins dont ils ont besoin. Beaucoup de saints et de congrégations religieuses ont donné leur vie pour soigner les malades ; ils sont à l'origine de nombreux hôpitaux, appelés « Hôtel- Dieu ».
Aujourd'hui, l'Etat a pris le relais en instituant un régime de solidarité pour les malades et handicapés, qu'on appelle la « sécurité sociale » : les bienportants paient les soins de ceux qui en ont besoin ; on peut y voir une action de l'Esprit Saint.
Mais notre engagement de chrétien va plus loin que les soins donnés par des spécialistes de la santé.
La compassion est de l'ordre de l'amour : nous sommes tous concernés pour aimer les malades et leur donner le réconfort de notre présence. En retour, les malades nous apportent du courage pour vivre nos moments de faiblesse et découragement.
Enfin n’oublions pas le sacrement des malades : n'attendons pas le dernier moment pour le recevoir ; il ne fait pas mourir, au contraire, il donne la force pour lutter contre le mal.
Ce sacrement des malades sera proposé à ceux qui le désirent, à la messe du dimanche des malades, 9 février.

Père Bernard PAJOT

bulletin de février 2025

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